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Depuis la crise du covid19, les critiques se focalisent énormément sur les domaines qualifiés de polluants.
De ce fait, la marché de la croisière est fustigé à 2 titres: une crise épidémique sur 2 ou 3 paquebots et une vision désastreuse des rejets émis par ces navires.
Il est urgent de remettre tout cela en perspective. En effet, la flotte mondiale est constitué aujourd'hui d'environ 300 paquebots (dont la moitié seulement sont de tailles imposantes et dépassent les 2000 passagers) sur un total de 80 000 navires de commerce. De plus, les propulsions sont en pleine évolution avec l'équipement quasi-systématique de moteurs au GNL des unités qui sortent actuellement des chantiers. Ce carburant permet de réduire à plus de 80% les gaz à effet de serre et ne rejette plus de particules fines. Saluons donc ces progrès au lieu de bannir un secteur sur des idées du passé !
Enfin, l'accusation, selon laquelle les paquebots seraient les endroits les moins sûrs lors d'épidémies, peut-être vite démontées par des contre-exemples où, au contraire, les passagers de certains navires ont été protégés en y restant pendant la crise grâce à des protocoles sanitaires anciens et précurseurs, notamment la désinfection permanente des espaces publiques et cabines, et l'utilisation imposée de gels hydroalcooliques aux embarquements et aux entrées des restaurants, entre autres...
Ainsi, ce positionnement évoqué, laissez-moi vous faire découvrir ce domaine passionnant que sont les croisières et toutes les industries et sphères économiques qui en découlent...surfez sur ces quelques pages en cliquant sur les liens !
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